Nous voilà arrivés au samedi 1er octobre, notre dernier jour en Corse, départ du ferry à Bastia le lendemain aux aurores blêmes… Pour cette dernière journée on remonte donc la côte ouest avec comme programme pour la journée le Désert des Agriates, zone touristique très réputée en Corse, et bien… on fut pas mal déçu !
Alors oui c’est beau, oui c’est grand et peu habité, mais franchement ça ne vaut pas nos Corbières ! En fait, c’est nos Corbières en plus petit et en bien plus peuplé, avec des restaurants tous les 2 kilomètres sur la seule route qui passe au travers, bof bof…
Alors oui c’est beau, oui c’est grand et peu habité, mais franchement ça ne vaut pas nos Corbières ! En fait, c’est nos Corbières en plus petit et en bien plus peuplé, avec des restaurants tous les 2 kilomètres sur la seule route qui passe au travers, bof bof…
De plus ce n’est pas très grand, du moins la traversée en voiture en l’est pas ! Du coup, ne voulant pas faire la ballade que tout le monde faisait, on s’est vite retrouvé à sortir du Désert alors qu’on était à peine en début d’après-midi ! On a donc pas mal tournicoté pour trouver l’entrée d’un chemin permettant d’accéder en voiture à une des plages (10km quand même). Pour le coup on a bien à faire à un chemin, dont l’entrée, pas évident, est indiquée par une petite pancarte qui signale le temps à prévoir pour les piétons. Après une longue hésitation, on décide finalement de lancer le camion dans la piste qui semble difficilement carrossable, notre guide donnant comme promesse “l’accès à probablement la plus belle plage de Corse” !
S’ensuit alors une longue descente marquée de beaucoup d’arrêts hésitants pour éviter les différents creux et bosses mêlés de cailloux de toutes tailles : franchement sport la descente même après avoir connu Fuerteventura ! Heureusement que le canon est haut sur pattes, on n’aurait jamais pu passer avec la Hyundaï, même si on a pu voir une Passat remonter, franchement je ne sais pas comment ils ont fait… Donc globalement c’est des 4x4 qui passent pas là, à la limite des van, mais je déconseillerai franchement les voitures (peut-être que la piste était particulièrement esquintée après toute la période estivale aussi) ! On a mis, au bas mot, 1h pour faire les 10km, je vous laisse faire le calcul de la vitesse moyenne tous seuls ! ;)
On finit donc tout de même par arriver au “parking” de cette fameuse plage de Saleccia : que des 4x4 garés et 1 ou 2 vans, puis à nouveau des vaches qui gambadent gaiement ! Après quelques mètres sur un petit chemin on débarque enfin sur la plage, très belle il faut l’avouer, mais quand même très fréquentée malgré l’accès plus que compliqué (pas mal de personnes y venant par bateau il faut dire). Alors oui elle vaut le coup, de part son sable blanc, son eau chaude et turquoise, sa végétation sauvage en fond et sa taille importante, cependant celle de Tamaricciu ou celle à l’ouest de Roccapina nous ont plus estomaqué ! Quand même une après midi très agréable à la plage, avec notre dernier bain en Corse et de l’année d’ailleurs, fin septembre ça fait plaisir quand même ! :)
S’ensuit alors une longue descente marquée de beaucoup d’arrêts hésitants pour éviter les différents creux et bosses mêlés de cailloux de toutes tailles : franchement sport la descente même après avoir connu Fuerteventura ! Heureusement que le canon est haut sur pattes, on n’aurait jamais pu passer avec la Hyundaï, même si on a pu voir une Passat remonter, franchement je ne sais pas comment ils ont fait… Donc globalement c’est des 4x4 qui passent pas là, à la limite des van, mais je déconseillerai franchement les voitures (peut-être que la piste était particulièrement esquintée après toute la période estivale aussi) ! On a mis, au bas mot, 1h pour faire les 10km, je vous laisse faire le calcul de la vitesse moyenne tous seuls ! ;)
On finit donc tout de même par arriver au “parking” de cette fameuse plage de Saleccia : que des 4x4 garés et 1 ou 2 vans, puis à nouveau des vaches qui gambadent gaiement ! Après quelques mètres sur un petit chemin on débarque enfin sur la plage, très belle il faut l’avouer, mais quand même très fréquentée malgré l’accès plus que compliqué (pas mal de personnes y venant par bateau il faut dire). Alors oui elle vaut le coup, de part son sable blanc, son eau chaude et turquoise, sa végétation sauvage en fond et sa taille importante, cependant celle de Tamaricciu ou celle à l’ouest de Roccapina nous ont plus estomaqué ! Quand même une après midi très agréable à la plage, avec notre dernier bain en Corse et de l’année d’ailleurs, fin septembre ça fait plaisir quand même ! :)
La remontée sera bien plus tranquille que la descente : c’est agréable de ne pas avoir toujours le pied sur le frein, puis le camion à un couple de malade donc tout va bien : 45 minutes cette fois ! On aura pu voir à quel point les 4x4 de ville (ou leurs conducteurs) peuvent être inutiles : un 4x4 type Merco ou BMW qui trouve le moyen de patiné sur un toute petite montée sans aucune difficulté, et tellement mauvais qu’on le dépassera rapidement ! >_<’
De retour sur la route il n’y a plus qu’à suivre les panneaux jusqu’à Bastia qu’on atteindra alors que la nuit tombe, la boucle est bouclée, on a fait le tour de la Corse. On se couche avec la joie de se dire que le lendemain on dormira dans un vrai lit dans une vraie maison, mais aussi la nostalgie de quitter ce petit coin de paradis que peut être la Corse…
De retour sur la route il n’y a plus qu’à suivre les panneaux jusqu’à Bastia qu’on atteindra alors que la nuit tombe, la boucle est bouclée, on a fait le tour de la Corse. On se couche avec la joie de se dire que le lendemain on dormira dans un vrai lit dans une vraie maison, mais aussi la nostalgie de quitter ce petit coin de paradis que peut être la Corse…
0 commentaires:
Post a Comment